Nous ne nous en lassons pas. Elle nous réserve encore de belles surprises tout au long de nos crapahutages : petits monastères peu connus, jardins d’Eden près de sources, oliveraies bien entretenues. C’est le temps des foins et les fragrances d’herbe coupée se mêlent à celles des figuiers, des pins et de l’aneth sauvage… Les petites routes très sinueuses sont mangées par les touffes de genêts, de câpriers et d’herbes folles. Pas vraiment possible de se croiser mais la circulation est rarissime. Les chemins carrossables dans la forêt, sont essentiellement utilisés par les apiculteurs et les chevriers qui disposent de plusieurs lieux de pacage avec les abris nécessaires à la traite et à la fabrication du fromage.. Nous pouvons imaginer que ces voies sommaires ont été créées pour permettre de lutter contre des feux possibles. Les chemins piétonniers sont rares et se méritent . Mais leur situation en haut des montagnes (500m environ) offrent des vues splendides sur l’ensemble de l’archipel. La ville est toujours aussi magique et nous découvrons à chaque fois de nouvelles ruelles, de nouvelles perspectives bluffantes. Et que dire du petit port de Klima Elios où il suffit de quelques centaines de mètres pour trouver tout ce dont nous avons besoin pour notre quotidien et en plus de cela servis avec gentillesse et disponibilité. La suite en images…
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