Nous ne lassons pas de la ville
Mais il est grand temps de partir redécouvrir ou découvrir les autres richesses de l’île
- et tout d’abord les magnifiques baies et plages
- le littoral et même les hauteurs. Quand ce n’est pas trop boisé, nous découvrons les autres Sporades toutes proches
- la ville de Glossa au nord est un peu particulière par rapport au reste de l’ile: elle est habitée par des Thessaliens qui ont leur propre dialecte et qui sont réputés pour être très accueillants. Nous avons testé et nous confirmons…
- L’île est couverte pour une bonne partie de forêts de pins qui ont été exploitées jusque dans les années 1950 pour construire des bateaux. Nous avons emprunté pas mal de pistes qui les traversent et pendant des kilomètres, nous n’avons vu personne. Nous avons marché pour découvrir des tombes néolithiques et au-delà de l’intérêt historique de ces vestiges, nous avons surtout apprécié le paysage de garrigues qui ressemble fort à celui du site d’Homère dans le nord d’Ithaque , là où il enseignait à ses disciples et d’où l’on pouvait voir 3 mers…
- L’agriculture reste traditionnelle; même s’il reste peu de jolies fermes à l’ancienne: nombreuses oliveraies plus ou moins biens entretenues, quelques vignes et vergers de pruniers, beaucoup de ruchers près des forêts de pins, de grands troupeaux de chèvres pour le fromage… Le mulet est encore bien utilisé par les chevriers.
- Et bien sûr nous ne pouvions pas finir ce billet sans essayer de vous faire partager l’explosion de couleurs de la flore au printemps. Contrairement aux Cyclades, les Sporades sont bien arrosées et elles sont bien vertes toute l’année. Il y a de nombreuses sources en forêt…
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