Son utilisation permet dans le meilleur des cas de rectifier le tir quand la manoeuvre s’avère délicate dans un port. Quand il y a du vent, pour un équipage maladroit et peu prévoyant, cet appendice coûteux peut devenir un emplâtre sur une jambe de bois.
On voit alors un beau voilier entamer un ballet un peu erratique, ratant le quai à plusieurs reprises. Quand enfin, il réussit à trouver sa place, les amarres ne sont pas prêtes.
Le bateau se trouvant à nouveau poussé par un Eole malicieux, il doit tout recommencer. Chantal et Jean-Marie
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