Nous avions bien mérité quelques jours de repos: chaque jour au moins un problème à été résolu et la liste des travaux s’était vraiment amenuisée
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Pas évidente la circulation sur les routes et rues très peu larges. Mais surtout il faut veiller aux chauffeurs (chauffards serait plus approprié) autochtones. Sport favori des jeunes surtout le soir et la nuit : courses en ligne open sur les boulevards. Souvent complètement azimutés et sous l’emprise de substances deshinibitrices, ils pétaradent à fond la caisse jusqu’à pus point d’heure. La police est totalement absente au grand dam de certains habitants. Nous les entendons de loin mais là où est le Mayero, c’est peinard.
Il faut dire que sur 53km2 10000h c’est beaucoup, surtout quand une bonne partie de Leros est pas vraiment accessible. Elle est très urbanisée donc, mais elle a l’habitude: Italienne entre 1912 et 1943, il y a eu jusqu’à 20000 soldats sur la base navale. Toutes les parties de l”île témoignent de son importance militaire depuis l’antiquité : du château et des forts byzantins sur les hauteurs,jusqu”aux guérites ; souterrains et blockhaus plus récents; Il faut dire que la baie de Lakki ou nous sommes est le port naturel le plus profond de Méditerrannée. Les violents combats de la dernière guerre ont inspirés “les canons de Navaronne” Dans l’ensemble Léros ne nous a pas fait vibré. Nous avons quand même trouvé en sortant des sentiers battus quelques paysages et sites sympas 
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